Précision : La chevrette observée de loin en bord de route broutait mes feuilles, me confirma la ronce, mécontente.
Ce matin, 7°C après une légère gelée superficielle. Les insectivores, tels cette mésange bleue, viennent grappiller les drosophiles attirées par le compost (potager en trou de serrure), et en particulier celles dessous l'écorce de potimarron. Les chardonnerets exploitent les tournesols, après avoir vidé les cardères. Tout le petit monde à plumes se restauraure dans la haie. Nul besoin d'acheter graines, boules de graisse et autres pièges à bonne conscience, 'suffit de planter.
Le même jour dans la même zone, les trois laissées typiques du renard et une belle latrine de blaireau. J'y ai ajouté une fleur, pour la couleur et l'odeur.
Oh come t’inganni se pensi che gl’anni non hann’ da finire, bisogna morire. È un sogno la vita che par sì gradita,è breve gioire, bisogna morire. (...) La morte crudele a tutti è infedele, ogn’uno svergogna, morire bisogna. Si more cantando, si more sonando la Cetra, o Sampogna, morire bisogna. Si muore danzando, bevendo, mangiando ; con quella carogna morire bisogna. (...) E quando che meno ti pensi, nel seno ti vien a finire, bisogna morire. Se tu non vi pensi hai persi li sensi,sei morto e puoi dire : bisogna morire. (Passacaglia della vita) Depuis janvier, mon temps est suspendu, distillant quelquefois des moments privilégiés. Je dédie ceux-ci à la douce sittelle. Bouhouhou, le scanner est toujours aussi fâché avec les bleus et les verts virent au jaune ! Le diaporama ci-dessous défile en autonomie. Une fois par mois, l'émission Naturellement (Canal C) inclut une capsule où je dessine et bafouille à propos d'un être sauvage. Les 4 derniers mois sont ici ; l'émission reprend en septembre et nous avons déjà enregistré jusque janvier inclus !
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February 2024
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