07/04, 8 h 20 : le faucon crécerelle et moi nous posons pour le petit déjeuner, à 200 m de distance, lui haut perché sur un peuplier et moi dans le jardin, l’un de mes terrains naturalistes. La longue-vue me permet de le capturer au crayon, enfin ! Hier soir, il était passé au-dessus de la maison du sud au nord, très en verve : kîkkîkkîkkîk ! Et jusqu’à ce matin, je n’avais pu l’observer qu’en pleine activité, en vols stationnaires répétés.
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29/03/20, 10 h au jardin.
Depuis quelques jours ensoleillés, ils se faisaient entendre du haut de la cheminée voisine, mais c’est dans notre jardin qu’ils passent la majeure partie de leur journée. Tour à tour, mâle et femelle se perchent sur la spirale, sur la bêche abandonnée (recyclée en perchoir), sur les arbustes. La bêche semble être le lieu d’affût idéal pour capturer les proies. ![]() Après cette longue gestation de Goupirou en atelier, dur dur de revenir au croquis à partir d'un modèle en 3D qui bouge au rythme des insectes. C'est une jeune bergeronnette printanière qui visite notre jardin, seule au milieu des chardonnerets, moineaux, étourneaux... "'Fait trop chaud, je n'y suis pour personne" dit Nong-Chat. Ils furent flamboyants, les tournesols désormais déliquescents que nous nous apprêtions à composter.
Le chardonneret nous en a dissuadés. De l'aube à la brune élégamment posé, le pinson doré penche son masque pourpré vers les graines toutes prêtes à voyager pour s'assurer postérité. |
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March 2023
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