Depuis janvier, mon temps est suspendu, distillant quelquefois des moments privilégiés. Je dédie ceux-ci à la douce sittelle.
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Balade le long de la rive gauche du Viroin. Le diaporama ci-dessous défile tout seul. Le diaporama ci-dessous défile tout seul. 04/11/2020. Le diaporama ci-dessous défile tout seul. Le cincle-de-la-rive-gauche-du-Viroin est privé de plongeon jusqu’à la prochaine décrue. Avec les pluies abondantes d’octobre, les petite plages sont toutes inondées, mais quelques perchoirs affluent encore par endroits. Vol rapide, rectiligne, direct jusqu’au sommet du rocher vêtu de lichens et encapuchonné de lierre. Dans une anfractuosité, il se pose un instant à l’entrée – je vois encore le bas du dos et les rectrices, puis disparaît. Il me semble qu’il a bien choisi son refuge, inaccessible pour un mammifère et pour un oiseau plus volumineux. A 20 mètres de l’eau, l’écran d’arbres est suffisamment clairsemé pour un vol droit et suffisamment entouré de lierre pour en dissimuler l’accès. Juin 2020. Les faucons pèlerins et autres petits hôtes du bord de la rivière encore un peu sauvage, malgré tout... Merci Mève et Pernille, Martine et Georges pour ces excellents moments ! Le diaporama ci-dessous défile tout seul. Il n'y a que de bonnes raisons d'agir pour mettre fin aux dérives de la chasse. Contribuez de votre voix ici
07/04, 8 h 20 : le faucon crécerelle et moi nous posons pour le petit déjeuner, à 200 m de distance, lui haut perché sur un peuplier et moi dans le jardin, l’un de mes terrains naturalistes. La longue-vue me permet de le capturer au crayon, enfin ! Hier soir, il était passé au-dessus de la maison du sud au nord, très en verve : kîkkîkkîkkîk ! Et jusqu’à ce matin, je n’avais pu l’observer qu’en pleine activité, en vols stationnaires répétés.
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