Le 30/09, je chus du haut de 20 cm sur la terrasse, résultat : méchante fracture du col du fémur et fracture du poignet. Deux jours avant, je me vantais d'avoir les os solides. Depuis lors, lectures à gogo et dessins à foison, dont le travail de l'ambidextrie. Je ferai bien d'aussi réviser l'anatomie humaine pour mieux dessiner les os.
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Voici 1 mois, je chus lamentablement et depuis, je m'applique à réparer fractures du col du fémur et du poignet, le poignet de la main dominante évidemment. Alors je m'applique aussi à dessiner de la main gauche, grâce à un modèle particulièrement complaisant, voire chamanique. L'exercice est très intéressant : choix des lignes essentielles, trait lâché et fragile, plus sensible. Ci-dessous, la production dans laquelle se distinguent aisément les débuts maladroits. La plupart des croquis sont réalisés avec une pointe feutre noire (excellent feutre de la Fondation Damien) ; quelques-uns avec une pointe ronde 0.3 (Slim Line OHTO) Oh come t’inganni se pensi che gl’anni non hann’ da finire, bisogna morire. È un sogno la vita che par sì gradita,è breve gioire, bisogna morire. (...) La morte crudele a tutti è infedele, ogn’uno svergogna, morire bisogna. Si more cantando, si more sonando la Cetra, o Sampogna, morire bisogna. Si muore danzando, bevendo, mangiando ; con quella carogna morire bisogna. (...) E quando che meno ti pensi, nel seno ti vien a finire, bisogna morire. Se tu non vi pensi hai persi li sensi,sei morto e puoi dire : bisogna morire. (Passacaglia della vita) Certains livres ont d'étonnants pouvoirs. Le diaporama ci-dessous défile tout seul. Un giorno all'improvviso
La luna si stancò Di guardare il mondo di lassù; Prese una cometa, Il volto si velò E fino in fondo al cielo camminò. E sorpresa fù Che la bianca distesa Non fosse neve. Eran solo sassi E i piedi si ferì, Piangendo di nascosto lei fuggì. Affrontare il mondo a piedi nudi Non si può E dall'alto a spiarlo lei restò. E sorpresa non è più Che la bianca distesa Non sia neve. Angelo Branduardi, La luna. (…)
Ce qu'il faut pouvoir, ce qu'il faut savoir, C'est garder son rêve ; C'est se faire un ciel qu'on puisse encor’ voir Lorsqu'on se lève ; C'est avoir des yeux qui, voyant le laid, Voient le beau quand même ; C'est savoir rester, parmi ce qu'on hait, Avec ce qu'on aime ! Ce qu'il faut, c'est voir, au-dessus d'un toit. D'une cheminée, Au-dessus de moi, au-dessus de toi, D'une humble journée, D'un coin de Paris, - c'est cela qu'il faut, Car c'est difficile! - Un ciel aussi pur, un ciel aussi haut Qu'un ciel de Sicile ! Edmond Rostand, Le divan. Déambulent les diurnes au cœur de la forêt cathédrale Tandis que se terre la famille Tesson Sous les voûtes d’une crypte bâtie à l’unisson. Texte et dessin parus dans l'Arbre à Palabres, un joli magazine à découvrir : http://wordpress.donfabulist.be/en-francais/larbre-a-palabres/
19/08/17
Lors de l'inauguration du magasin de la Fleur des Champs (http://www.lafleurdeschamps.net/), un concours de trail-ball canin, à visée éducative (du chien ou de son maître ?) est une belle occasion de suivre les mouvements du chien avec le crayon, sans regarder la feuille. |
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