Conformément à l'espoir de Thierry, en lisant tout cela, je suis devenue son amie et partant, celle de Floristella et de toute la bande. Ils me donnent encore davantage de motivation pour dessiner, peindre... et marcher, pour user du monde en le grattant au crayon.
Le monde comme une eau vous traverse, et pour un temps vous prête ses couleurs puis se retire, et vous place devant le vide, que l'on porte en soi, cet espace d’insuffisance centrale de l'âme qu'il faut bien apprendre à côtoyer, à combattre et qui paradoxalement est peut-être notre moteur le plus sûr .