A peine sortie du taillis, je tombe quasi nez à nez avec Pinto qui s’en émeut à peine. Il semble me dévisager à plusieurs reprises, mais reste à brouter, se déplace lentement jusqu’à disparaître derrière le bosquet.
Depuis notre dernière rencontre, il a frayé et arbore de jolis petits bois très clairs, presque roux. Son cou est hirsute, sa robe grise.